À propos :

J’ai cependant une autre hypothèse qui expliquerait mon dévouement à la communauté du parc. Et bien, j’y exerce en tant que community manager – ou pour ceux qui fuient ses anglicismes, j’anime les communautés digitales – depuis plus d’un an.

C’est un métier que j’aime, tout d’abord, car il fait appel à l’artiste et au scientifique qui m’habitent dans un équilibre quasi-parfait. Je me trouve « comme poisson dans l’eau » avec cette casquette même si, au vue de la nature du métier, la formation en continu s’impose ; que nous ayons un niveau senior ou que nous soyons des débutants comme moi.

La gestion des communautés digitales de n’importe quelle entité (dans mon cas, du parc), va au-delà de la publication de beaux contenus sur les médias sociaux. Elle nécessite d’une compréhension et d’une implication assez approfondies de telles communautés et de leurs contextes.

Et la meilleure façon de l’assurer (et là, c’est « Sergy du parc » qui vous parle), c’est en s’y insérant vive et activement, comme j’ai l’opportunité de faire aux côtés de ces personnages… et en réel et en fantastique !